Les MKII présentent la gravure avec date IV.67. sur les derniers ont les retrouvent avec la gravure I.72. A partir de la fin de 1971, les 1665 embarqueront le nouveau calibre 1570 modifié (19800 bph et stop secondes) a la différence des premiers 1665 qui eux, embarquaient le ‘vieux ‘ 1570. Les fonds des MKII (soit “patent pending” soit “Rolex Patent”) disposent, a l’intérieur, comme leurs prédécesseurs MKI , des trois derniers numéros de leur serial, ainsi que la référence et la date . Tous les boitiers avec fonds gravés « patent pending », ainsi que les tous premiers « Rolex Patent », jusqu’au serial 2.9XX.XXX, avaient des dimensions plus petites ainsi que les épaulements protecteurs plus pointus (fig. 17A et B). Sur les photos 17C et 17D un exemple de boitier épais.
Fig. 17 A (boitier thin case)
Fig. 17B (boitier thin case)
Fig. 17 C (boitier thick case)
Fig. 17 D (boitier thick case)
En 1972, la typographie du double red change encore (MKIII) avec un range allant de 3.086.XXX a 3.770.XXX (a peu prés 1974)
En plus du tampon différent de celui du MKII, la particularité du MKIII réside dans le fait que le marquage rouge est appliqué directement sur le cadran. Le fond de cadran noir avait pour effet d’absorber le vernis de la teinte rouge et elle apparaissait de fait, moins brillante. Le six est toujours ‘open ‘, comme sur les cadrans précédents, avec des ‘serifs’de typographie du red writting moins prononcés. La particularité du MKIII est d’être la seconde typographie la moins diffusée après le MKI (fig 18,19 et 20)
En 1972, la typographie du double red change encore (MKIII) avec un range allant de 3.086.XXX a 3.770.XXX (a peu prés 1974)
En plus du tampon différent de celui du MKII, la particularité du MKIII réside dans le fait que le marquage rouge est appliqué directement sur le cadran. Le fond de cadran noir avait pour effet d’absorber le vernis de la teinte rouge et elle apparaissait de fait, moins brillante. Le six est toujours ‘open ‘, comme sur les cadrans précédents, avec des ‘serifs’de typographie du red writting moins prononcés. La particularité du MKIII est d’être la seconde typographie la moins diffusée après le MKI (fig 18,19 et 20)
Fig. 18
Fig. 19 Détails du Mark III
Fig. 20 Les poinçons Beyeler au dos du cadran
Les fonds de boites des MKIII avaient la même gravure externe « Rolex Patent » des dernières générations de MKII. La date inscrite a l’intérieur était I.72 (fig 21) On note aussi les 3 derniers chiffres du serial, mais on peut également en trouver sans inscription vers les 3.5XX.XXX. Apres ce serial, les fonds ne seront plus marqués de la date (dernières génération des MKIII)
Les fonds de boites des MKIII avaient la même gravure externe « Rolex Patent » des dernières générations de MKII. La date inscrite a l’intérieur était I.72 (fig 21) On note aussi les 3 derniers chiffres du serial, mais on peut également en trouver sans inscription vers les 3.5XX.XXX. Apres ce serial, les fonds ne seront plus marqués de la date (dernières génération des MKIII)
Fig. 21
La dernière typographie de cadrans dit de production est également la plus commune (MKIV) nous la retrouvons vers 1974 avec un range compris de 3.770.XXX a 5.257.XXX (1977). Cette typographie apparait comme plus granuleuse que les précédentes et affiche un « closed six », un des inconvénients de ce MK, est d’avoir la base du cadran qui a tendance a sauter a proximité de la minuterie (fig 22, 23 et 24)
La dernière typographie de cadrans dit de production est également la plus commune (MKIV) nous la retrouvons vers 1974 avec un range compris de 3.770.XXX a 5.257.XXX (1977). Cette typographie apparait comme plus granuleuse que les précédentes et affiche un « closed six », un des inconvénients de ce MK, est d’avoir la base du cadran qui a tendance a sauter a proximité de la minuterie (fig 22, 23 et 24)
Fig. 22
Fig. 23 Particularité du Mark IV
Fig. 24 la couronne Rolex est très ouverte
Fig. 25 Dos du cadran du Mark IV produit par Lemrich&Cie avec code 121 12221
Pour ce qui concerne les fonds de boites des MKIV, nous pouvons trouver deux typographies diverses :
1) Fond repris sur la dernière génération des MKIII (« ROLEX » serial gravé a intérieur sans ou avec la présence de la date I.72 pour des serials de 3.770.xxx a 5.175.xxx (voir fig. 26)
2) Fond de dernière génération avec « ROLEX » gravé de façon circulaire (voir fig 26a) cette typographie de fonds a la particularité d’avoir encore le serial gravé (certains encore avec la gravure I.72, d’autres sans) Nous la retrouvons jusqu'à 5.257.XXX, selon moi, ce serial est le dernier où l’on peut trouver un cadran double red (fig 26b)
Pour ce qui concerne les fonds de boites des MKIV, nous pouvons trouver deux typographies diverses :
1) Fond repris sur la dernière génération des MKIII (« ROLEX » serial gravé a intérieur sans ou avec la présence de la date I.72 pour des serials de 3.770.xxx a 5.175.xxx (voir fig. 26)
2) Fond de dernière génération avec « ROLEX » gravé de façon circulaire (voir fig 26a) cette typographie de fonds a la particularité d’avoir encore le serial gravé (certains encore avec la gravure I.72, d’autres sans) Nous la retrouvons jusqu'à 5.257.XXX, selon moi, ce serial est le dernier où l’on peut trouver un cadran double red (fig 26b)
Fig. 26 Fond interne MKIV sans date
Fig. 26A Extérieur du fond d’un MKIV dernière génération
Fig. 26B Intérieur du fond d’un MKIV dernière génération
Les deux derniers MK de double red sont des MK de fourniture, utilisés uniquement lors de service, en remplacement des cadrans endommagés. Le MKV se distingue par sont ‘ft ‘ e sont ‘m’ en caractère italique (fig 27)
Les deux derniers MK de double red sont des MK de fourniture, utilisés uniquement lors de service, en remplacement des cadrans endommagés. Le MKV se distingue par sont ‘ft ‘ e sont ‘m’ en caractère italique (fig 27)
Fig. 27
Le MKVI n’a qu’une seule ligne rouge et SWISS a 6heures, les index au tritium cèdent leurs places a ceux au luminova (fig 28)
Le MKVI n’a qu’une seule ligne rouge et SWISS a 6heures, les index au tritium cèdent leurs places a ceux au luminova (fig 28)
Fig. 28
L’actuelle typographie de double red utilisée lors de remplacement dans les centres Rolex (fig 29 et 30)
L’actuelle typographie de double red utilisée lors de remplacement dans les centres Rolex (fig 29 et 30)
Fig. 29
Fig. 30
Pour ce qui concerne les bracelets, les premiers 1665 avaient les repliés 9315 avec EL 285 (385) et extension ‘pat.pend’ (ensuite, ‘patented’) puis finalement, a partir de 1975 les blindés 93150 avec EL 585. Les derniers cadrans double red peuvent être trouvés jusqu’a 5.2XX.XXX. En 1977, apparaissent les premiers cadrans blancs, la caractéristique commune a toutes les variantes ‘blanches’ est d’avoir perdu le marquage ‘submariner 2000’. Même dans cette génération là, nous retrouvons des variantes avec de petits détails et des différences.
Pour accéder à la suite, cliquez sur ce lien:
http://www.rilogi.com/ROLEX-SEA-DWELLER-1665-L-EVOLUTION-PART-III_a109.html
Pour ce qui concerne les bracelets, les premiers 1665 avaient les repliés 9315 avec EL 285 (385) et extension ‘pat.pend’ (ensuite, ‘patented’) puis finalement, a partir de 1975 les blindés 93150 avec EL 585. Les derniers cadrans double red peuvent être trouvés jusqu’a 5.2XX.XXX. En 1977, apparaissent les premiers cadrans blancs, la caractéristique commune a toutes les variantes ‘blanches’ est d’avoir perdu le marquage ‘submariner 2000’. Même dans cette génération là, nous retrouvons des variantes avec de petits détails et des différences.
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